Grands-parents, tantes, oncles, cousins, cousines et autres membres de la famille
- coincidir1
- 8 ene 2023
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Actualizado: 12 sept
Lorsqu’un être cher décède, l’équilibre du système familial est perturbé et l’adaptation à la perte qui s’ensuit implique une réorganisation à court et à long terme qui dépend du moment du cycle de vie, des rôles, du réseau de soutien, du type de décès et dans laquelle les étapes du deuil familial et individuel s’influencent l’une de l’autre.

Le décès d’un membre de la famille entraîne des changements importants dans la conception qu’il a de lui-même et du monde qui l’entoure, qui se manifestent par différents symptômes en fonction de la proximité significative (grands-parents, petits-enfants, neveux, nièces, tantes, oncles, cousins, cousines et autres membres de la famille).
Ces proches vivent un processus doublement triste, car ils souffrent de la perte du lien particulier qu’ils avaient avec le défunt et, en même temps, du chagrin partagé avec les autres membres de la famille.
Par exemple, si un oncle meurt, le neveu souffre sûrement de sa propre expérience en raison de la proximité de leur relation et souffre également pour son cousin, qui devient orphelin, parce qu’il l’aime avec fraternité, et d’autre part il souffre de voir sa mère attristée par la perte de son frère décédé ou de voir sa grand-mère pleurer son fils.
Un autre exemple est le deuil des grands-parents qui, d’un côté, souffrent de la perte des espoirs d’avenir de leurs petits-enfants et, d’un autre côté, voient leur fils ou fille éprouver une immense douleur. Il en va de même pour le deuil des petits-enfants, qui souffrent de la perte de la personne qui les a gâtés et compris, souvent avec la complicité de leurs parents, et qui, dernièrement, sont attristés par la souffrance de leurs propres parents.
Il est essentiel de comprendre que tout le monde, traverse une période critique, il est donc recommandé de ne pas faire des commentaires minimisant la douleur des autres membres, ainsi que de partager et d’admettre les sentiments qui surgissent, quels qu’ils soient, et de les contenir entre eux, ce qui implique de tolérer et d’accepter l’expression complexe de chacun (évitante, négative ou positive).