Évaluation, gestion du deuil et qualité de vie

« On attribue à la souffrance le fardeau du mal, alors qu’elle nous offre en fait l’occasion de grandir en planifiant la finitude humaine. »

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la qualité de vie comme : « la perception qu'a un individu de sa place dans l'existence, dans le contexte de la culture et du système de valeurs dans lequel il vit et en relation avec ses objectifs, ses attentes, ses normes et ses inquiétudes. »

La qualité de vie influence notre fonctionnement physique, émotionnel, social et cognitif, et il dépend de deux indicateurs de bien-être/malaise :

-          Objectifs : symptômes physiques, traitements gênants, habitat, encouragements environnementaux, économie, réseau de soutien social, etc.

-          Subjectifs : traditions, croyances, satisfaction, sentiments, humeur, sexualité, buts personnels, confiance en soi, image de soi, contrôle de soi, autonomie, manque de sens à la vie, etc.

D’autre part, la souffrance est un état affectif et cognitif négatif, caractérisé par le sentiment d’être menacé dans sa propre intégrité et par un sentiment d’impuissance à faire face à l’épuisement des ressources personnelles et psychosociales.

Chez COINCIDIR, nous utilisons des instruments (questionnaires, échelles et indices) et des techniques pour l’évaluation de la souffrance, de la qualité de vie, en rapport avec la présence de la douleur en tant que préoccupation prioritaire.

« La personne qui souffre se trouve dans un moment particulier où -la lumière de cette expérience- elle peut comprendre sous un jour nouveau la distinction à faire entre ce qui est vraiment important et ce qui ne l’est pas. »

Aquilino Polaino Lorente