Parents endeuillés

La mort d’un enfant est toujours considérée comme injuste ; chaque parent vit le deuil différemment selon : l’âge de l’enfant, la cause du décès, le réseau de soutien, etc.

Lorsque le décès est dû à un avortement choisi, le deuil commence avec la prise de décision, alors que si le décès survient naturellement avant ou après la naissance, le deuil est influencé par les attentes liées à la naissance, les liens familiaux et l’histoire de la famille.

Dans le cas d’une morte accidentelle, il peut y avoir des reproches ou de la culpabilité parmi les parents, et dans tous les couples, après la mort d’un enfant, il peut y avoir une revitalisation ou un éloignement de la relation conjugale.

De nombreux parents font l’expérience de souhaits de mort et de séparation, ou de ferveur à l’égard des croyances religieuses.

Dans certains cas, il peut y avoir des réactions pathologies telles que la transformation de la chambre de l’enfant décédé en sanctuaire ou le fait de ne plus jamais parler de la perte, et les enfants suivants peuvent ne rien savoir de leurs prédécesseurs.

COINCIDIR propose un accompagnement dans ces moments complexes et regrettables afin d’identifier et d’exprimer les sentiments et les pensées qui, très souvent, ne peuvent être exprimes avec la famille ou les amis, et de pouvoir ainsi traiter la perte.